En la montant depuis Saint-Guilhem ou en la descendant depuis Foch, la rue de la Valfère offre quelques bonnes adresses et des endroits remarquables à (re)découvrir.

Longue de 255 mètres, avec ses 15 mètres de dénivelé et une pente moyenne de 7% (et bien plus entre les Carmes du Palais et Foch), la rue de la Valfère fait partie des tracés historiques du « vieux » Montpellier. C’est une rue structurante et fédératrice d’une vraie vie de quartier. Depuis quelques années, la rue s’anime et accueille restaurateurs et artisans.
En la montant, du 47 au 7
- au n° 45, My Donut, le premier donutstore de Montpellier
- au n° 41, après les deux petites impasses Brun et Paran, le restaurant bistronomique Jaime
- au n° 39, le salon L’Aiguillerie Tattoo et Artshop tenu par les artistes De Lange et Caroline Escafit
- au n° 35, la boutique-atelier Shanshan, de Shanshan Sun
- au n° 23, l’atelier de l’artiste-peintre Benoit Galifer
- au n° 25, l’atelier de fabrication de meubles d’Omar Dakiri
En la descendant, du 4 au 42
- au n° 8, plusieurs cabinets de médecins dont un médecin généraliste, une infectiologue, un chirurgien esthétique et trois chiropracteurs
- au n° 10, à l’adresse de l’ancien hôtel de Lunas, plusieurs cabinets d’avocats
- au n° 18, le piano bar, bar à vin et bar à tapas Le Clandestin
- au n° 22, la friperie La Réserve
- au n° 24, l’atelier-boutique céramiques Mr Zébulon tenu par Jérôme Florès
- au n° 24, le service de plomberie de Jean-Christphe Cave Le Plombier du Centre
- au n° 30, l’école primaire Lamartine
- au n° 42, un cabinet d’avocat
Mais l’animation de la rue de la Valfère et de son quartier tiennent également à d’autres lieux tout proches et incontournables :
- l’église Sainte-Anne et son carré. L’édifice est remarquable avec son majestueux porche ogival. La nef accueille une grande salle d’exposition d’art contemporain en cours de restauration
- l’Arc de Triomphe du Peyrou. Érigé en 1691 à la gloire de Louis XIV, au bout de la rue (avenue) Foch, il culmine la ville en son point le plus élevé
- le bâtiment de l’ancien Conservatoire de musique délocalisé au sein de l’ancienne maternité Grasset
- la rue de l’Amandier, ses nombreuses façades médiévales ornées de fenêtres ogivales trilobées du XIIIe et XIVe siècle
- les bars, restaurants et boutiques du carré et de la rue Sainte-Anne
- les restaurants Pastis et Abacus de la rue Terral
- le boulanger Des Rêves et du Pain de la rue Eugène Lisbonne